Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Qualité de vie

15 février 2008

Radio ethic

J'ai découvert Radio ethic sur le net. Il s'agit d'une "Web radio libre francophone de parole(s), de rencontres, de partage, d'interrogation et de recherche de solutions.
RadioEthic fédère des activistes de l'art de vivre dans le respect des générations futures !!!"

Important:

"RADIO ETHIC est la première webradio qui traite de l’éthique, c’est-à-dire des conduites humaines et des valeurs qui les fondent.

RADIO ETHIC aborde les différents sujets d’actualité et analyse les évènements nationaux et internationaux qui valorisent les comportements humains et défendent l’environnement, la qualité de la vie ou le développement durable. Elle donne la parole aux acteurs qui travaillent pour la défense de l’environnement, l’amélioration de la qualité de la vie, le commerce équitable, et le développement des initiatives dans le domaine de la solidarité.

RADIO ETHIC s’adresse à celles et à ceux qui se posent des questions sur le sens de leur vie et s’engagent pour l’avenir de la planète.

Ce n’est pas une radio philosophique
Ce n’est pas une radio religieuse
Ce n’est pas une radio politique

C’est une radio indépendante HUMANISTE et HUMANITAIRE, c’est-à-dire qui met l’accent sur les actions positives des Hommes et des Femmes du 21ème siècle."

http://www.radioethic.com/

Bonne écoute !

N'hésitez pas à visiter mon site pro: http://qualite-de-vie.com

Publicité
Publicité
8 février 2008

Qualité de vie au travail

L'Agence Nationale pour l'Amélioration des Conditions de Travail (l'ANACT) organise chaque année "la semaine de la qualité de vie au travail". L'année dernière, une pièce de théâtre a été enregistrée avec la compagnie "théâtre à la carte". Voici le lien de la vidéo:

http://www.qualitedevieautravail.org/video.html

Bonne visualisation !

24 janvier 2008

L’importance de la visualisation dans les projets

Nous avons vu que les pensées ont un effet limité sur la matière. Cependant, lorsque nous voulons faire avancer un projet, les pensées et la visualisation ont un rôle crucial.

Afin de pouvoir se diriger correctement, il faut savoir où nous voulons aller. C’est ce que permet la visualisation d’un projet. Il y a plusieurs moyens de visualiser un projet. Nous pouvons fermer les yeux et l’imaginer dans tous ses détails une fois abouti et réussi, ou encore le décrire dans cet état entièrement par écrit.

Ces pratiques régulières permettent de ressentir l’enthousiasme et l’énergie nécessaires à la mise en œuvre des actions à effectuer pour réussir le projet. C’est le principal effet sur nous-mêmes ressenti.

Y penser régulièrement amène à parler ou à écrire à son propos. Notre attention se porte sur des sujets connexes, nous découvrons alors autour de nous des personnes ressources, des livres, des sites internet. C’est ce que certains appellent des coïncidences (du style « nous attirons à nous tout ce qu’il nous faut »), alors qu’il ne s’agit que d’un effet de notre attention et de nos actions. Nous ne sommes prêts à recevoir des informations que lorsqu’elles nous intéressent, et il est clair qu’autour de nous tous les sujets ou presque ont été traités par d’autres. De plus, parler de notre projet autour de nous et agir pour son aboutissement trouvera un jour ou l’autre un écho. Il y a toujours un moment où nous en parlons avec quelqu’un qui a connaissance du sujet ou qui peut nous aider, ou qui connaît une personne qui le peut. Plus nous visualisons notre projet, plus il est facile de parler ou d’écrire à son sujet de manière précise, plus nous véhiculons énergie et enthousiasme, plus nous effectuons d’actions pour le faire avancer, plus il est facile de rencontrer des personnes ressources, et plus vite nous réussissons dans notre entreprise.

17 janvier 2008

Les limites des effets de la pensée sur notre environnement

De nombreux ouvrages écrits ou filmés défendent la thèse suivante: " nous attirons ce à quoi nous pensons consciemment ou inconsciemment " ou encore " l'univers nous donne tout ce dont nous avons besoin. " Nous pouvons par ailleurs remplacer allègrement "univers" par "Dieu" et "pensées" par prières. Ce qui peut donner: "Les prières sont toujours entendues et exaucées" et "Dieu nous donne tout ce dont nous avons besoin" ou encore "Il est possible de faire agir notre Dieu intérieur." Le pire est atteint avec :" mais ne vous inquiétez pas, les mauvaises pensées ont moins de pouvoir que les bonnes pensées."

Les divers courants existants se font concurrence (et même la guerre parfois), mais finalement tous disent exactement la même chose: pensez très fort à une chose que vous voulez, demandez-la à l'Univers (ou à Dieu, ou à votre Dieu Intérieur, ou à la Vie) et l'Univers (ou Dieu, ou votre Dieu Intérieur, ou la Vie) vous la donnera.

Ce raisonnement est pour moi inexact, voici pourquoi.

Les pensées n'influencent pas la matière, elles n'influencent qu'une et une seule chose: nous-mêmes. Si les pensées influcençaient la matière directement, il suffirait de penser à un objet (ou de prier pour obtenir un objet) pour qu'il se matérialise immédiatement. Or ce n'est pas le cas, et de plus l'objet n'est pas obtenu à coup sûr même avec un temps d'attente variable.

La croyance en ce genre de discours implique la culpabilisation des personnes qui sont en difficulté. Elles peuvent croire qu'elles n'ont pas assez bien prié, ou qu'elles ont des pensées conscientes ou inconscientes qui les empêchent d'obtenir ce qu'elles veulent. La culpabilisation peut aller même plus loin: ce sont les pensées de colère que nous avons qui créent les guerres et les catastrophes naturelles à l'autre bout du Monde.

Il est cependant exact de dire que nos pensées ont des conséquences. Ces conséquences sont uniquement l'état intérieur dans lequel elles nous plongent. Si nous pensons à quelque chose de joyeux, de léger, nous nous sentons joyeux et légers. Si nous pensons à quelque chose de déplaisant, nous nous sentons tristes, ou déprimés, ou en colère.

Les pensées que nous entretenons de manière consciente ou inconsciente et les états intérieurs associés ont ensuite une influence directe sur nos paroles, et sur nos actions. En effet, si nous souhaitons une chose et qu'en même temps nous pensons "ce n'est pas pour moi", nous n'aurons pas le discours et les actions appropriées pour l'obtenir. C'est ce que certains thérapeutes appelent une stratégie d'échec. Mais ce n'est pas l'Univers (ou Dieu ou la Vie) qui nous la refuse. Dans le cas d'un succès, ce n'est pas l'Univers (ou Dieu ou la Vie) qui nous exauce, nous avons simplement un discours et des actions qui font que nous obtenons ce que nous voulons ou ce dont nous avons besoin.

Concernant l'influence des pensées sur les paroles ou les actions, je vous laisse vous référer à des notes précédentes de ce blog.

14 janvier 2008

Juges les actes, pas les hommes

Quand quelqu'un agit cruellement, nous disons parfois "ce n'est pas humain" ou encore "cet homme n'est pas un être humain, c'est une bête" ou pire "c'est un monstre".

Je suis convaincue que pour avancer sur soi-même d'abord, pour la société ensuite, il est indispensable d'accepter toutes les facettes de l'être humain, les bonnes comme les mauvaises. Les accepter pour ensuite les transformer. En refusant le côté sombre de l'être humain, nous le nions. En le niant, nous refusons de le regarder en face et de s'en occuper. Or parfois, pour avancer, il faut mettre les mains dans le cambouis afin de prendre ce que nous voulons transformer à bras le corps. Il est difficile d'accepter nos propres côtés sombres, cela fait souffrir dans un premier temps, mais quelle joie quand nous réussissons à les transformer !

Je souhaite ajouter que qualifier un être humain de monstre ou de bête c'est le juger. Et que cela n'améliore pas la société ou le monde. Il vaut mieux juger ses actes. Car l'être humain reste humain, quoi que nous puissions dire ou penser, et ce même si ses actes sont particulièrement horribles et inhumains. C'est pourquoi je pense qu'il est préférable de juger les actes plutôt que l'homme. Car oui, certains hommes agissent de manière inhumaine, ou de manière monstrueuse. Et ils doivent être punis pour ces actes, mais punis en tant qu'êtres humains. Au risque de choquer, je pense que si leurs victimes doivent être aidées, les bourreaux doivent également être pris en charge. Pourquoi ? Les victimes doivent être aidées à surmonter leurs traumatismes afin qu'elles ne fassent de mal ni à elles-mêmes ni aux autres, et qu'elles redeviennent actrices de leurs vies. Les bourreaux doivent être pris en charge en tant qu'êtres humains afin qu'ils puissent prendre conscience de l'horreur de leurs actes, afin qu'ils puissent regarder leur côté sombre en face, et qu'ils puissent rectifier leur comportement.

En résumé, ma conviction est la suivante. Pour améliorer la société :

- se prendre soi même en charge, prendre conscience de son propre côté sombre et l'améliorer
- juger les actes, et non les hommes
- aider les victimes ET les bourreaux afin que les actes inhumains ne se répètent pas

Publicité
Publicité
8 janvier 2008

La méthode humanitude et le monde du travail

Est-il possible d’appliquer « la méthode humanitude » dans le monde du travail ? Est-il possible de dialoguer avec ses interlocuteurs en étant à leur écoute, en prenant en compte leurs sentiments et émotions, en les rassurant le cas échéant ? Est-il possible d’exprimer à ses collègues, à ses supérieurs, à ses employés ses sentiments, ses émotions, ses difficultés ? Qu’en est-il du contact physique ? Comment peut être interprété le geste d’un homme prenant une collaboratrice dans ses bras ? Ou lui tenant la main tandis qu’elle pleure pour une raison quelconque ?

Aujourd’hui encore, le monde du travail est plus que jamais le monde de la performance et de l’apparence. Montrer ses sentiments et émotions, ses difficultés, c’est se montrer faible et risquer de perdre sa place. A cause de cela, les victimes de harcèlement moral se taisent. Pourtant, un collaborateur qui se sent bien dans son lieu de travail commet moins d’erreurs et ne perd pas de temps « à ruminer » ses différents avec ses collaborateurs ou ses supérieurs.

Pour changer le climat dans les entreprises où les sentiments et le émotions sont bannis, il est possible d’entamer ce que j’appelle une démarche « qualité de vie ». Le but est de donner à l’être humain sa vraie place tout en gardant en vue les objectifs de rentabilité.

Comme pour les démarches qualité classiques, il est indispensable que la direction soit à l’initiative de ces changements. Il est également important de choisir un responsable et garant de la démarche. La direction et le responsable qualité de vie peuvent se concerter pour écrire des chartes de bonne conduite, de bonne expression et … de bonne écoute de ses collègues, supérieurs, subordonnés et clients. Personnellement, j’aime beaucoup la communication non violente et la sémantique générale. Leur utilisation en entreprise amènera réellement une attitude « humanitude » dans le monde du travail tout  en respectant les objectifs financiers et de performance.

4 janvier 2008

La méthode humanitude

En ce début d’année, j’ai connaissance d’une méthode qui améliore la qualité de vie quotidienne des personnes âgées atteintes d’alzheimer : « la méthode humanitude ». Cette méthode permet d’apaiser les personnes âgées, de baisser les doses médicamenteuses. Elle permet également au personnel de mieux s’occuper des patients car, apaisés, ils acceptent mieux les soins.

Cette méthode allie les gestes et les paroles affectueuses et apaisantes. En effet, ce qu’il reste aux malades d’alzheimer est une mémoire affective. Le  personnel soignant aborde les personnes âgées en les regardant dans les yeux et en leur tenant la main. Ils prononcent également des paroles calmantes. Ainsi, certains patients réfractaires aux soins acceptent les actes de toilette et de soins quotidiens. Notons également qu’avec cette méthodes les personnes âgées ingèrent moins de médicament.

Merci à Monsieur Yves Gineste, créateur de cette méthode.

24 décembre 2007

Un voeu pour Noël...

Pour Noël j'exprime un voeu. Je souhaite que tout le monde puisse réaliser à quel point tous les êtres humains (y compris nous-mêmes) sont exceptionnels et de grande valeur. A quel point nous sommes des êtres sensibles et créatifs. A quel point la qualité de vie des uns influe sur la qualité de vie des autres. Je souhaite donc également que tous et chacun fasse attention à ce que les êtres proches ou plus lointains qui les entourent aient tout ce qu'il leur faut pour être heureux.

Je vous souhaite à tous et à toutes une qualité de vie exceptionnellement belle non seulement pour Noël, mais également tous les jours de l'année.

11 décembre 2007

Le lâcher prise

Aujourd'hui, nous entendons souvent que pour être heureux, il faut savoir "lâcher prise". Qu'est-ce que cela veut dire ?

Concrètement, lâcher prise, c'est
- accepter que la Vie ne soit pas exactement comme nous le voudrions;
- accepter que les autres n'agissent pas conformément à nos désirs;
- accepter que nos pensées, paroles, et actions n'aient pas forcément les effets escomptés sur notre environnement;
- rester ouverts à toute opportunité qui se présente à nous.

Par exemple, aujourd'hui je cherche à faire connaître mon projet de qualité de vie aux entreprises. Je multiplie les manières de parler de ce projet. Mais lorsque j'agis, je n'attends rien de précis de l'action en cours, ni rien de précis des personnes que je rencontre. Car j'ai appris de mes projets antérieurs que les personnes qui m'apportent leur aide ne sont pas toujours celles que je pensais au départ.

Autre exemple, lorsque je dois dire quelque chose de difficile à quelqu'un, j'utilise la communication non violente et la sémantique générale. Parfois, mon interlocuteur réagit tout de même fortement à mes propos. Dans ces cas là, il est important que je lâche prise, c'est à dire que je ne prenne pas ses propos personnellement et que j'accepte ses émotions et ses réactions.

Mais lâcher prise, ce n'est pas:
- laisser la Vie décider à notre place;
- abandonner un projet rapidement sous prétexte qu'il ne marche pas.

Le lâcher prise doit être allié au courage et à la volonté d'améliorer nos vies et notre environnement.

Qu'apporte le lâcher prise ?

Le lâcher prise permet de s'appaiser et d'être plus à l'aise dans ses paroles, actions et relations interpersonnelles. Comme nous nous sentons mieux, nous agissons plus efficacement.
Par exemple, nous attendons sereinement une réponse après une réunion, un examen ou un entretien important car nous l'acceptons d'avance, quelle qu'elle soit. Cela facilite le choix de l'action juste par rapport à cette réponse, surtout si elle nous est défavorable.
En effet, le lâcher prise permet à nos émotions négatives de s'évacuer plus facilement et d'avoir moins d'emprise sur nous.

19 octobre 2007

Qualité de vie en entreprise

La qualité de vie en entreprise se définit par 6 aspects (source: documents pdf du site de l'agence nationale pour l'amélioration des conditions de travail (anact) - http://www.anact.fr)
- La qualité des relations sociales et de travail
- La qualité du contenu du travail
- La qualité de l'environnement physique
- La qualité de l'organisation du travail
- Les possibilités de réalisation et de développement professionnels
- La conciliation entre vie professionnelle et vie privée.

"La qualité des relations sociales et de travail" se situe en première position. Signe que cet aspect de qualité de vie au travail est important, nous le retrouvons en couvertures de magazines destinés aux cadres et aux entreprises.

Magazine "L'entreprise" de juin 2007: "Les sales cons au bureau: comment en finir"
Magazine "Courrier cadres" d'octobre 2007: "Gérer ses émotions (et celles des autres)"
Magazine "Chef d'entreprise magazine" d'octobre 2007: "La délégation, çà s'apprend" avec des conseils pour manager correctement la personne qui a en charge l'action déléguée
Magazine "Management" d'octobre 2007: "Domptez votre stress!" avec "jusqu'où un chef peut-il mettre la pression?" et "ce qu'un employeur peut faire pour apaiser ses troupes"

La qualité des relations interpersonnelles hiérarchiques et transversales est un aspect considéré incontournable de la qualité de vie au travail et ... des performances. Une entreprise où règne un mauvais climat voit l'attention de ses salariés détournée des tâches à effectuer. Le stress augmente, et avec lui le nombre d'arrêts maladie et de démissions. Sans compter le temps passé (et donc perdu) à rétablir la sérénité et le calme de chacun après chaque altercation. De plus, les salariés sont de moins en moins motivés et prennent de moins en moins d'initiatives. Enfin, si la situation se détériore au point qu'il y a ait du harcèlement moral, il y a des risques que les victimes se tournent vers la justice.

Comment maintenir ou rétablir un bon climat en entreprise ?

L'anact définit la qualité des relations sociales et de travail par "la reconnaissance du travail, le respect, l'écoute, l'information, le dialogue social et la participation aux décisions." Il est donc conseillé de trouver un moyen de faire participer les salariés à la définition et à la mise en place de la stratégie de l'entreprise. Un management par la confiance semble être plus approprié que le management par la peur.
Cependant, il faut être ferme avec les personnes qui apportent un mauvais climat. Il ne faut pas hésiter à leur parler en tête à tête afin de leur expliquer que leur comportement est nocif à la fois à l'entreprise et à elles-mêmes.
Une bonne ambiance est la responsabilité de tous les acteurs de l'entreprise "du balayeur au directeur". Le respect des règles de politesse et de savoir-vivre est un minimum. En communauté d'entreprise, il apparaît indispensable d'apprendre à gérer ses émotions et d'appliquer les principes de la communication non violente.

Publicité
Publicité
1 2 > >>
Publicité